
De l’abeille à la bouteille; Hydromel Charlevoix
Une multitude d’insectes pollinisateurs butinant le terroir charlevoisien, prélevant, de fleur en fleur, l’essence même de ce territoire qui, bientôt, se déclinera en petits pots de miel et produits alcoolisés arborant le nom d'Hydromel Charlevoix.
De l’abeille
à la bouteille;
Hydromel Charlevoix
Une multitude d’insectes pollinisateurs butinant le terroir charlevoisien, prélevant, de fleur en fleur, l’essence même de ce territoire, tantôt agricole, tantôt sauvage, participant d’une manière vitale aux précieux écosystèmes locaux. Là, c’est à travers un champ en friche, là-bas chez un cultivateur qui héberge quelques ruches. Chaque terroir a son propre caractère, sa propre saveur, instillé par la flore, puis modulé par les saisons. Un nectar unique et précieux, tout à valoriser, récolté de l’effort de milliers d’abeilles, 30 000 à 60 000 par ruche. Ce sont elles les véritables travailleuses. Pourtant, l’artisan apiculteur y a aussi son rôle, prélevant cette matière brute dorée à même le cadre, le récoltant à la force centrifuge, obtenant un miel, ou plutôt des miels, 100% issus du terroir charlevoisien.

Embouteiller le terroir;
distiller Charlevoix
La récolte de l’apiculteur est multiple: le miel de printemps-été, floral et léger, celui d’automne au goût plus affirmé, puis celui de sarrasin, de bleuets… Comme en viticulture, il y a là un travail d’assemblage, jouant ces particularités et subtilités pour créer les produits artisanaux et locaux recherchés qui font le nom d’Hydromel Charlevoix: miel crémeux ou de fleurs sauvages, vieilli en fût de bourbon ou safrané. Mais ce qui a d’abord attiré Anthony et Alexandre à se former à l’apiculture, c’est l’envie d’étoffer l’offre charlevoisienne de produits alcoolisés. Le plus vieil alcool du monde est, sous leurs soins, décliné en toute une gamme de vins et de spiritueux de miel, du « Pet Nat » au gin. Oui, un gin de miel, joliment appelé Floraisons. Un pseudo rhum aussi et des eau-de-vie…

À visiter;
à déguster
Le miel comme matière première, des fruits ou des aromates des alentours pour la singularité des produits… D’accord, c’est tout bon, mais il faut déguster! Partager: voilà un point d’honneur dans l’aventure d’Hydromel Charlevoix. L’agrotourisme et Charlevoix, étant une histoire d’amour qui a fait ses preuves, on l’embrasse au 49, rue Saint-Jean-Baptiste, dans le coeur grouillant de Baie-Saint-Paul, le temps d’une visite et d’une dégustation.


